<!DOCTYPE html PUBLIC "-//W3C//DTD XHTML 1.0 Transitional//EN" "http://www.w3.org/TR/xhtml1/DTD/xhtml1-transitional.dtd"> <html xmlns="http://www.w3.org/1999/xhtml"> <head> <title>Tapeinosperma laurifolium Mez</title> <meta http-equiv="content-type" content="text/html; charset=UTF-8"/> </head> <body> <h2> <i>Tapeinosperma laurifolium</i> Mez</h2> <p> <i>Bulletin de l’herbier Boissier</i>, sér. 2, 5: 530 (1905).</p> <p>TYPUS. — Nouvelle-Calédonie, Ou Hinna (versant oriental du Mont Colnett), vers 400 m, fl., 7. I.1903, <i>Schlechter 15698</i> (holo-, B, <i>del</i>.; iso-, P! [P00835361]).</p> <p>AUTRE MATÉRIEL SÉLECTIONNÉ. — L’herbier de Paris comprend une quinzaine d’échantillons provenant de la partie orientale de la Grande Terre, au nord de Thio. <b>Nouvelle-Calédonie</b>. Au-dessus de Oui Pouin (entre le plateau de Dogny et Nakada), vers 600 m, fr. sphérique noirâtre, de 5 mm de diamètre, 6.VIII.1965, <i>Bernardi 10046</i> (G). — Mont Colnett, vers 800 m, axes infloresc. pourpres, fl. orangées, 19.IV.1968, <i>Bernardi 12782</i> (G). — Ton-Non (Roche d’Ouaième), vers 850 m, arbuste (2 m), en fourré, fl. rose pâle, 21.III.1968, <i>MacKee 18534</i> (G, MO, NSW). — Eod. loc., axes infloresc. rouges, fl. blanches, 18.IV.1968, <i>MacKee 18686</i> (CANB). — Massif des Lêvres (Moindip), vers 700 m, sous-arbuste (0,5 m), en lisière [inflorescences sur des rameaux spéciaux, dressés, sous-tendues par une couronne de petites feuilles], fl. blanches, 31.III.1974, <i>MacKee 28459</i> (NOU). — Mont Panié, vers 900 m, arbuste (2 m), fl., 15.II.2006, <i>Munzinger et al. 3330</i> (NOU). — Eod. loc., vers 1100 m, arbuste (2 m), fr., 1.X.1972, <i>Schmid 4149</i> (NOU). — Massif des Lêvres (Cantaloupaï), vers 800 m, fr. jeunes, 16.IX.1983, <i>Suprin 2249</i> (NOU).</p> <p>OBSERVATIONS</p> <p> <i>Tapeinosperma laurifolium</i> se distingue principalement de <i>T. psaladense</i> par ses feuilles plus grandes, à limbe tendant à être très coriace. Ses inflorescences amples, multiflores, peuvent être jusqu’à trois fois ramifiées. D’après Mez, le fruit serait une drupe déprimée au sommet, pouvant atteindre 22 mm de diamètre. Cette donnée est très vraisemblablement erronée. Il s’agit sans doute d’un fruit détaché provenant d’une autre espèce, mais on ne peut le vérifier, l’échantillon type de Schlechter ayant disparu au cours de la Seconde Guerre mondiale.</p> <p>La survie de l’espèce, à distribution assez large sur des terrains sans intérêt économique, ne paraît pas menacée.</p> </body> </html>