e2-dub-ba-a et ge-dub-b
Description
Quoique M. Civil ait souligné déjà en 1989 que e2-dub-ba-a n'est pas une relation génitivale (apud HALLO 1989:237 n. 2), les « maisons des tablettes » (et leurs congénères dans d'autres langues européennes), basées sur l'akkadien bīt tuppim, continuent de hanter nos discussions consacrées à l'école sumérienne (v. récemment MICHALOWSKI 2011:9 avec n. 6, RUBIO 2016:246 avec n. 372), 3) et CANCIK-KIRSCHBAUM/KAHL 2018:544)). Que e2-dub-ba-a n'est normalement pas une relation génitivale ressort clairement du fait que le génitif est e2-dub-ba-a-k, pas e2-dub-ba-a-ka-k (passim dans dumu/a2-aĝ2-ĝa2 e2-dub-ba-a-k) et le locatif e2-dub-ba-a, pas e2-dub-ba-a-ka (par ex. Dialogue 3:108 et 169, Edubba'a A 49 et Iddin-Dagan B 65); cf. aussi e2-dub-ba-am3 dans CIVIL 1987:19 l. 6 A et G // e2-dub-ba-a (B).
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P. Attinger, e2-dub-ba-a et ge-dub-ba, Nouvelles Assyriologiques Brèves et Utilitaires 2018, S. 72-75 n° 43.pdf
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